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Caroline Breton conçoit des projets chorégraphiques et est interprète pour des pièces de danse et théâtre. 

Formée en danse et philosophie, elle intègre l’ERACM puis fonde le collectif Extime et joue dans leurs créations pendant 6 ans. Elle joue aussi sous la direction d’Yves-Noël Genod, Falk Richter, Christiane Jatahy, Robert Wilson entre autres.

Elle danse avec Marco Berrettini dans My Soul is my Visa créé aux Rencontres Chorégraphiques, Théâtre national de Chaillot et tournée, Melk Prod part en croisière et iFeel2 en tournée. Elle est interprète chez Christophe Haleb, Simon Tanguy, Johanna Rocard. Elle assiste Olivier Muller sur HooDie au CCN de Montpellier. Elle interprète 3 pièces de Simone Forti dont Censor au Watermill Center de New York.

Elle donne une conférence sur le féminisme “Quelle est la différence entre une femme?” notamment à la Gaîté Lyrique et crée des performances d’art contemporain au New Museum à New York, La Laiterie Strasbourg, Les Ateliers Berthier/Odéon et le Centre Pompidou.

 

En 2018, elle fonde avec Charles Chemin le groupe Karol Karol. Ils conçoivent une série de portraits vivants dansés, I Hope en 2019, figures en 2022 à la Ménagerie de Verre et Watermill Center. 

 

En 2021/22, elle crée De Natura Rerum à la Pop - incubateur artistique & citoyen à Paris, avec l’aide à la création de la Région Ile-de-France, le reprend à Plastique Danse Flore à Versailles en 2022 et à LaScierie Festival d'Avignon 2023 avec le soutien de l'ONDA.

 

Elle est lauréate de la Bourse écriture danse de la Fondation Beaumarchais-Sacd pour EUPHORIA, création le 5 mars 2025 à l'étoile du nord, Paris et à KLAP Maison pour la danse, Marseille.

 

DÉMARCHE ARTISTIQUE

 

Caroline Breton est intéressée par la métamorphose incessante du vivant, la fluidité vertigineuse avec laquelle la vie se développe, inventant de nouvelles formes d’adaptation, parfois cocasses. 

Elle cherche à traduire dans ses pièces ce dévouement à la vie pour reprendre les mots de la peintre Agnès Martin, qu’il nous faut attiser, souvent, pour ne pas qu’il s’éteigne et par égard envers les autres vies qui peuplent ce monde. 

Ce commun, c’est la vitalité, le désir de toucher et faire se rencontrer les corps pour créer des communautés fertiles d’épanouissement mutuel nous dit Andréas Weber.

Ses pièces posent la question de l’impulsion vitale. Qu’est-ce qui nous anime, nous met en mouvement ?

 

Elle se met dans les pas des grand.es naturalistes et biologistes telles Frances Theodora Parsons ou Rachel Carson pour qui notre rôle est de « conserver vivant ce sens inné de la merveille ».

Le spectacle vivant et tout particulièrement la danse recouvre pour elle parfaitement cette définition. 

 

Sa conception de l’œuvre scénique traduit une relation sensuelle, sensible et humoristique aux êtres et aux choses. Elle s’entoure de créateur.rices – placticien.ne, aquarelliste, éclairagistes, compositeur.ices, accoucheuse de voix qui donnent vie à cette approche naïve, technique et poétique de nos petits écosystèmes.

© Chloé Bellemere

© Chloé Bellemere

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© Clélia Schaeffer

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